Nostalgie
Le 15 novembre 2006, Vanessa, Argy, Alban, Claire et moi étions allé voir Jamie CULLUM à la salle des fêtes de Schiltigheim. Voilà enfin que je trouve quelques vidéos du concert sur internet (youtube). Au passage je remercie Citizenlili pour les avoir mises en lignes, et pour me laisser les utiliser ici alors que je ne lui ai pas demandé.
Résultats du six nation’s
Dong, dong, dong ! (c’est l’équivalent suisse du cocorico, enfin j’imagine). La Suisse arrive troisième derrière les deux équipes de Grande Bretagne. La France suit à la sixième place, juste devant l’Italie qui termine dernière. Tout ça est de bon augure pour le championnat d’Europe des nations début juillet, mais n’oublions pas les grosses équipes nordiques absentes de ce petit tournoi, mais qui auront largement leur mot à dire.
Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement
Je viens de recevoir, pour la seconde fois, un ouvrage qui avait particulièrement retenu mon attention la première fois que je l’ai lu. C’est un livre que je conseille à tout le monde, dès que j’en ai l’opportunité. D’ailleurs, je n’ai pas manqué de le faire la semaine dernière lorsque Gilles s’interrogeait sur les principes de la relativité générale. Sauf que mon livre avait disparu, sans doute resté sur l’étagère d’un amis de longue date. Un petit tour dans une librairie en ligne bien connue et sept jours plus tard il revenait dans ma boîte au lettres pour la modique somme de 7,50 €. Il s’agit de La relativité, par le célèbre Albert EINSTEIN (Petite Bibliothèque Payot) ni plus ni moins.
Production de deux de cœur
Un peu de motivation : vendredi soir, la magie des studios Pixar m’a envahi. Voir le légendaire Merlin, dans sa toge trop courte, formuler quelques incantations et propulser les héros de la soirée fort fort loin… c’était inspirateur. Moi aussi j’ai quelques incantations dans le revers de ma manche, moi aussi je peux faire voyager des choses. Je travaille la manipulation de cartes depuis quoi ? Novembre dernier ? Quelque chose comme ça oui. Justement, je me souviens de la première routine que j’ai essayé d’apprendre. Je la tenais d’une vidéo trouvée sur YouTube. Le type m’avait carrément impressionné. Mais ce n’était pas une routine très simple pour débuter…
Lire la suite »Six-Nations’ cup
Ce weekend, quelques freespeediens s’en vont en tournoi de préparation du futur championnat d’europe des nations d’ultimate (en juillet à Southampton en Angleterre). Il s’agit du tournoi suisse de Nyon, qui réunira l’équipe de Suisse, d’Allemagne, d’Italie, de Grande-Bretagne, des Pays-Bas et de France. Bonne chance à vous les gars et prennez garde à ne pas vous blesser, on a besoin de vous pour le championnat !
Weekend prolongé
Bon ce n’était pas vraiment un weekend prolongé, c’était un weekend normal, mais lundi soir il y avait un resto de prévu donc c’était encore un peu l’ambiance weekend, d’où la prolongation. Enfin bref. Samedi, journée pas tout à fait normale. D’une part c’est le premier samedi où j’arrive à tenir mes objectifs de rédaction. Bravo non ? Ensuite, j’ai décidé d’entammer le gâteau pour la journée de dimanche. Pour le réussir, il me faut faire monter une crème chantilly, … sans crème-fix. Par contre, j’avais prévu une bassine d’eau à zéro degré (de l’eau avec pleins de glaçons dedans), du sucre glace, mais rien n’y a fait. Cette saleté de crème chantilly n’a pas monté. Snif. Ça devait être à cause de l’été si proche. Après un aller-retour vain vers le supermarché du coin (à la recherche de crème chantilly en bombe… oui bon ça suffit !) je me résigne à faire mon gâteau avec une crème chantilly liquide. En plus, Justine à corrigé son adversaire sur le central. Moi qui voulait voir un beau match entre future génération et future ancienne génération, bof bof. Mais bon, le gâteau sera finalement bon, crème chantilly à plat ou pas.
Dans quelques années,je vais pouvoir crâner
Déjà, j’espère bien que dans quelques années je pourrai me pavaner en criant partout que je suis docteur (ce qui me procurera enfin le droit de poser des questions les jours de soutenance), mais ce n’est pas ce dont il s’agit aujourd’hui. Non, en fait la raison pour laquelle j’écris ce billet, c’est pour vous faire part de ma fierté concernant deux choses :
- d’une part, le fantastique, le merveilleux, mais surtout l’unique Mike ANGEL est venu voir mon site et a complimenté le tour de magie de Gilles. Je ne sais pas si vous vous souvenez de Mike, je l’ai un peu charrié dans un précédent billet, me disant que de toute façon il n’avait aucune chance de tomber sur ce site. Mais c’était sans compter l’efficacité diabolique de Google. Quoi qu’il en soit Mike fait de la magie aussi, mais s’oriente plus sur la grande illusion (enfin à ce que j’ai compris). Bref je lui souhaite tout le meilleur dans ce métier. Pour vous faire une idée sur ses talents, voici l’adresse de son site (ne vous privez pas d’un bon moment, allez-y).
- d’autre part, j’ai l’honneur de connaitre le type dont ils parlent ici. Oui je le connais même très bien, c’est lui qui a réalisé les deux films de mes vacances à Berkeley, et qui est en train de réaliser celui d’Australie. Si vous ne l’avez pas encore fait, je vous invite à regarder le film dont il est question dans cet article. Je ne sais pas si vous aviez remarqué, mais il est en lien sur ce site depuis un bout de temps ; quelque part dans la colonne de droite. Mais pour vous faciliter la tâche, je vous le redonne 🙂
The Wallabys
Un merci à Cyrielle pour la soirée d’hier soir 🙂 Un pub australien très sympa, tout décoré de drapeaux australiens, de planches de surf, etc. Curieusement il n’y avait pas trop de symboles rugbystiques. Bon, comme j’avais bossé jusque 20h45, j’avais un peu faim et j’ai fini par craquer vers 23h40. Du coup on a terminé en catastrophe au McDo de Kingersheim où j’ai pu me faire honte à enlever les cornichons de mon classique Royal Bacon lol Je n’ai pas vu le temps passer, je crois que ça veut dire que j’ai passé une bonne soirée non ?
Le marathon estival
Dans ma famille, on fait simple. On essaye de rassembler les différentes fêtes et anniversaires pour que question cadeaux, ce soit difficile pendant trois mois mais au moins après, nous sommes tranquilles lol. Donc ce weekend nous venons d’entamer la séquence d’été (l’hiver, c’est plus tranquille, juste un anniversaire, Noël et une fête). Anniversaire de papamou, bientôt suivi par la fête de mères, la fête des pères, la fête des Yohann, la fête des Joël, l’anniversaire de Yohann et l’anniversaire de Vanessa. Nous serons alors arrivés au tout début du mois d’août.
Nous n’y sommes pas encore 🙂
Pour ce weekend de Pentecôte, je suis donc retourné à Vitry-le-François. Au programme, piscine, barbecue (le mien puisque le barbecue familial a dû être sacrifié pour la bonne cause), Titanic, des rires, un clafoutis aux pommes, et beaucoup de Magnums chocolat blanc (j’étais frustré depuis l’Australie car ils n’en avaient pas), et bien sûr du Champagne et du très bon vin (dont une heureuse surprise californienne).
Culture : Ballet du Rhin
Un billet offert pour un billet acheté, voilà tout ce qui me manquait pour cocher mon vendredi soir dans le calendrier de ce blog. Ah non, il me manquait quelqu’un pour m’accompagner. Dans l’ordre alphabétique, Cyrielle, Gilles, Maryline et moi-même, sommes donc allés voir le Ballet du Rhin, à la Filature de Mulhouse. Trois grands noms (dixit Vanessa, mon expert conseil en la matière) nous ont proposé trois représentations très différentes les unes des autres.
La première, chorégraphiée par George BALANCHINE sur une musique de Piotr Ilitch TCHAIKOVSKI (la suite numéro 3) était sans conteste la plus classique des trois. Un très bel ensemble bâti autour d’un duo homme/femme, tout de blanc vêtus. Je n’y connais pas grand chose, mais la chorégraphie m’a semblé être de très haut niveau technique. Je me souviens avec émerveillement du bouquet final : la moitié de la troupe nous sublime pendant que l’autre moitié se replace pour reprendre la suite, comme s’ils étaient sortis de nulle part.
Le deuxième, Dichterliebe de Bertrand d’AT sur une musique de Robert SCHUMANN était mon préféré. Des costumes à la Matrix qui laissent place un à un à des tenues faites de vents colorés. Une gestion de la lumière bluffante, qui donnait l’impression d’être dehors, un jour d’automne. Bref, j’ai été sous le charme 🙂
Reste le dernier, Workwithinwork de William FORSYTHE (musique de Luciano BERIO), de loin celui que j’ai le moins aimé. Il me laisse le souvenir d’une sorte de cours de danse, où chaque groupe de danseurs viennent danser une chorégraphie puis s’en vont.