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Il y a quelques temps maintenant, une pizza nous a inspiré, à Paméla, Laurent, Gilles, Bruno et moi (Rébecca, Paula, Johana et moi… désolé), une question centrale pour nos vie. Voyez-vous, quand on commande une pizza, on n’hésite souvent pas à demander des suppléments : supplément œuf, supplément fromage, ou autre. Cela veut dire qu’on souhaite avoir un ingrédient supplémentaire par rapport à la recette originale proposée sur le menu. Mais me concernant, vous vous doutez bien qu’il me faut parfois également préciser qu’il y a un ingrédient dont je ne veux pas (c’est souvent les olives). Alors si vouloir un ingrédient en plus se dit « supplément », comment doit-on dire pour un ingrédient en moins ? Je m’explique, il me faut un mot pour dire : « supplément œuf, xxxxxent olives ».

Comme nous n’avons pas trouvé de tel mot (à part « sans », mais il est plus l’opposé de « avec », pas vraiment de « supplément »), Laurent et Gilles ont proposé respectivement : « inflément » et « sousplément ». Ma question est la suivante : avant d’inventer un mot, en existe-t-il un ? Sinon, laquelle des deux propositions est étymologiquement la plus correcte ? Peut-on trouver mieux ?

Je vous pose la question.

Voilà, ça y est, je suis à jour dans mon boulot. Ça ne m’était pas arrivé depuis 2002, année de ma sortie de l’ENSPS. Avant de démarrer mes préparatifs de second semestre (un cours à mettre à jour, deux à fabriquer de A à Z, un manuscrit à finaliser pour l’archivage), je vous montre quelques photos de ma soutenance, ainsi qu’une vidéo éducative sur les énergies renouvelables.

Voilà qui est fait. Je ne vais pas trop m’étendre, j’y reviendrai demain avec des photos, mais pour faire court (« en gros » lol) tout s’est très bien passé, le jury a été plus qu’élogieux et je crois que j’ai pas trop dit de bêtises. Bref, j’ai maintenant le grade de docteur de l’université de Haute-Alsace en génie informatique et il me reste à trouver où je vais faire ma vie en octobre prochain…

Ah oui j’oubliais : yeahhhhhhhhhhh ! (décharge de tension accumulée sur 4 ans).

Bon, personne n’a oublié ce qui m’arrive dans peu de temps j’espère. Voici les dernières nouvelles : mes deux rapports sont enfin revenus et sont relativement flatteurs. Pour être franc, je n’ai aucune modification à apporter au manuscrit, ce qui n’est déjà pas mal. Peut-être qu’ils me réservent ça pour la soutenance, mais ce serait inhabituel et mal venu de leur part. Bref, deux rapports positifs impliquent un gros «ok» pour la soutenance de la thèse qui aura donc lieu (ressortez vos agendas) le mardi 11 décembre à 14h45, dans l’amphi Schittly de l’ENSISA, au 12 rue des frères Lumière à Mulhouse. Si tout se passe bien, un pot suivra dans la salle du conseil du même bâtiment. Vous y serez les bienvenus même si vous avez manqué la soutenance (prévoir un mot signé des parents).

Voilà, la prochaine fois que je vous parle, ben ce sera pour raconter comment ça s’est passé.

Ceux qui ont suivi ce blog, depuis sa création en 2002, se souviennent certainement que je leur avais promis la suite des photos relatant mon stage à Berkeley. Cinq ans plus tard, cette promesse se concrétise, principalement grâce à Sylvain puisque, pour l’instant, c’est lui qui se tape tout le boulot. Rendez-vous donc sur ce site pour suivre au jour le jour nos pérégrinations.

Pour ceux qui auraient manqué le début, vous pouvez consulter les billets de la catégorie « Berkeley 2002 » : ici. Juste histoire de remettre les choses dans leur contexte, Sylvain m’avait rejoint à Berkeley pour mon dernier mois de stage et nous en avions profité pour parcourir les parcs nationaux du grand ouest. Ce nouveau blog démarre avec le voyage de Sylvain jusqu’à moi.

De temps en temps, au labo, il nous arrive de craquer. Le plus souvent on se retrouve à danser le sirtaki ou à faire des étirements par terre, mais aujourd’hui nous avons fait une petite expérience chimique. Tout est partie de cette vidéo : comment recharger un lecteur mp3 avec un oignon et du soda énergisant.

Histoire de vous prouver que la grande opération de scanérisation avance, voici une petite photo de Bryce Canyon, prise le 16 juillet 2002. [o]

Cet endroit est vraiment magnifique et si je peux me permettre ce conseil sans paraître présomptueux, ce devrait être une destination prioritaire sur la liste de n’importe quel touriste désirant explorer l’ouest américain.

Bientôt, pour ceux intéressés par nos vieilles aventures de 2002 à Sylvain et moi, une surprise…

Pour les amateurs de Jackass, voici Rémi Gaillard, dont on entendra de plus en plus parler je pense. Bon au début c’est un peu poussif, mais la deuxième moitié m’a fait beaucoup rire.

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Bon, avec Sylvain on avait fait un petit road trip dans l’outback … heu non, dans l’ouest américain, et nous avions même rédigé un blog qui n’a jamais été publié. C’était en 2002, à la fin de mon stage de DEA à Berkeley ; c’est dire si nous étions en avance sur notre temps 🙂 Enfin bref, les articles de ce blog sont pour le moment perdu. Personnellement, je les avais sur un CD titré USA01, donc si jamais je l’ai abandonné chez l’un de vous…

Donc voilà, ça c’est fait. Ce soir, je vais vous montrer les photos que je viens de scanner. Il s’agit de la vallée de la mort ([o]), la vallée la plus basse des États-Unis (en altitude) et aussi la plus chaude (en température mdr). Bon, la Vallée de la mort, c’est pas la première chose qu’on ait faite dans ce voyage, mais je préfère vous livrer cette aventure dans l’ordre où je la scanne, c’est plus pratique.

C’était aux alentours du 13 juillet 2002. Je le sais parce que le 14 nous étions à Las Vegas et c’est l’étape suivante du voyage (mais pas forcément les prochaines diapos scannées donc. D’ailleurs les prochaines sont Bryce Canyon.) J’en déduis donc que nous sommes arrivés le 12 et repartis le 13. Bon en fait je le sais parce que j’avais eu la bonne idée de dater toutes mes diapos. Toujours est-il que la Vallée de la mort est un parc national américain, et comme pratiquement tout parc national, ce qu’il y a à y voir est tout simplement splendide. Mais pour la vallée de la mort, il faut se coucher tard et se lever tôt, ne serait-ce que pour la température.

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Vendredi après-midi (disons en fin d’après midi), Gilles et moi nous sommes retrouvés pour filmer quelques uns des tours que nous affectionnons le plus. Je vous livre les deux que je trouve les plus réussis.