Et hop, une coupe de Suisse

Ben voilà, nous sommes rentrés sur le terrain survoltés, prêts à disputer un match piège pour lequel nous étions ultra-favoris. Cela a donné un match à sens unique au cours duquel Zurich n’a pas réussi à sortir la tête de l’eau : 15-4. Première étape validée pour notre objectif de doublé coupe-championnat. Retour à l’entrainement dès mardi.

Coupe de Suisse, première journée

Fidèlement à ce que dit mon calendrier, ce weekend je suis à Huttwill en Suisse pour essayer de décrocher la coupe de Suisse d’ultimate. Historiquement ce serait la deuxième fois (2006). Aujourd’hui nous avions quatre matchs : deux contre des équipes de division inférieure et deux contre des équipes de la division élite. Cela a donné quatre victoires assez larges du point de vue du score, mais pas forcément faciles.

Voilà j’en profite pour souligner que Freespeed peut faire de bons résultats même quand je suis là 🙂 la preuve. Demain on joue la finale et on va essayer de la ramener à Bâle cette coupe !

Gaufre-académie

Avec un certain retard, voici enfin le résultat de la soirée gaufre-académie qui visait à élire, par SMS, la meilleure recette de gaufre. Il y avait en compétition la gaufre traditionnelle, la gaufre antillaise, la gaufre alsacienne, la gaufre choky, et la gaufre géo (enfin une pâle copie). Mais avant de poursuivre, voici une brève présentation des candidates :

  • la gaufre traditionnelle est celle que l’on trouve à la foire. Elle est très très … très légère (business oblige), elle sent bon à la cuisson (business oblige), et la manger nature est déconseillé (business oblige, oui je sais je me répète) ;
  • la gaufre antillaise présente une pâte vanillée corsée de rhum brun, et s’accommode délicieusement de baies fraiches (on sent le parti pris je sais) ;
  • la gaufre alsacienne, subtilement parfumée à la bière, est à la fois légère et gouteuse, et présente une polyvalence inégalée en matière d’accompagnements ;
  • la gaufre choky, avec ses pépites de chocolat partiellement fondues et dont le parfum se diffuse à travers toute la pâte, n’a pas besoin d’artifices pour être appréciée ;
  • la représentante de la gaufre géo est parée de perles de sucre caramélisé, a une forme ronde unique, est le fruit d’un assemblage de farines subtile, mais dont les proportions demandent encore quelques ajustements.

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Expo photo

Voici un petit peu de pub qui, je le regrette bien, ne va pas concerner beaucoup d’entre vous. À moins que vous ayez prévu un déplacement sur Reims dans les prochaines semaines et que vous ayez un enfant scolarisé au Lycée Colbert… Cependant rassurez-vous, une invitation est à gagner à la fin de ce billet !

Alors voilà, je pense que vous ne l’ignorez pas : Sylvain et moi somme partis en Australie il y a déjà plus d’un an de cela (que le temps passe vite) et nous étions revenus avec énormément de photos et de vidéos. Et bien sachez que le CDI du Lycée Colbert de Reims expose une sélection de nos photos (sélectionnées et travaillées par Sylvain lui-même). Chaque photo est accompagnée d’une légende que j’ai envie de qualifier de sylvainesque ; un fin dosage entre culture et insolite. C’est à voir jusqu’au 7 Juin.

Pour gagner une invitation, il suffit de deviner une série de 8 chiffres. En ajoutant 06 devant vous obtenez un numéro de téléphone et si c’est Sylvain qui vous répond alors vous aurez gagné !

Tokakokan

Voici les dernières nouvelles de mes activités de recherches qui, il faut bien l’avouer, sont en train de mourir faute de motivation : après presque 9 mois de gestation (certaines arrivent à faire un bébé pendant ce temps là), le journal international sur les systèmes neuronaux (IJNS) a enfin donné signe de vie (merci Patrice pour les relances) et accepte mon article moyennant quelques corrections qui se résument pratiquement toutes à l’inclusion de détails supplémentaires. Cela étant, certainement par soucis de compensation :p, mon article pour la conférence de Saint-Jacques de Compostelle a été refusé. Je suis dégouté parce qu’une fois de plus, ni la qualité, ni la véracité des théories que je propose n’ont été remises en cause par les relecteurs. Je n’ai « juste » pas réussi à les convaincre de l’intérêt de ce que j’ai fait. Bon c’est de ma faute parce que l’exemple d’illustration que j’ai choisi les a conduit à se méprendre sur l’objectif réel de mon travail. On en apprend tous les jours n’est-ce pas ?

Freespeed… Championne d’Europe !

Oui je sais j’ai du retard sur d’autres billets (le ski entre autres, la soirée gaufre-académie, etc.), mais cette information se doit de passer avant les autres. Bon déjà, ce weekend j’étais de mariage et j’en profite d’ailleurs pour féliciter une nouvelle fois Élise et Jean-Sébastien pour cette fête très réussie (je mettrai quelques photos avec leur autorisation dans un prochain billet). Pendant ce temps là, mon équipe est partie disputer près de La Baule les championnats d’Europe des nations de beach ultimate. Alors oui, pourquoi donc un club va-t-il jouer à un championnat des nations. La réponse est simple : la fédération suisse en a décidé ainsi. Sans doute que déplacer l’équipe nationale suisse (composée à 30% de freespeediens) était financièrement compliqué pour les joueurs, étant donné qu’ils se déplacent cet été à Vancouver pour les championnats du monde des nations (sur herbe cette fois). D’ailleurs plusieurs cadres de chez nous sont également restés à Bâle ce weekend. Enfin bref, après être sortie 4e de la phase de poule, c’est-à-dire à la dernière place qualificative pour les demi-finales, ils ont brillamment pu déjouer le jeu belge en demi finale avant de battre la France en finale. Voilà donc un nouveau titre pour le club. Cette année nous espérons bien réaliser le doublé coupe/championnat, gagner l’open des Pays-Bas, et être dans le top 4 en ligue des champions.

SkyBowl 2008 : 9e

Nous voulions finir premier cette année mais nous devrons nous contenter de la 9e place (c’est-à-dire la meilleure que l’on pouvait espérer sans avoir été qualifié en quarts de finale). Forcément par rapport à hier nous avions des matches plus faciles et nous avons donc logiquement (cette fois) gagné nos trois rencontres avec des marges confortables. Le coach est de mon avis et nous allons dès cette semaine ré-orienter les entrainements pour que nous soyons tactiquement plus solides, pour qu’il y ait un meilleur flow comme on dit. Oui parce que la saison ne fait que commencer et nous avons un titre de champions de suisse à défendre face à Genève et Berne, qui eux ont bien commencé leur saison : respectivement 3e et 1er.

Des nouvelles de Skybowl

Et pas des vraiment bonnes (enfin tout est relatif). C’est marrant parce que j’en parlais hier soir avec Paméla, en disant que les matches du samedi, à part celui contre Genève, étaient des formalités. Et bien non ! Le moins que l’on puisse dire c’est que nous avons passé la journée à nous battre sur chaque point (et nos adversaires aussi). Cela étant ça n’a pas suffit à nous qualifier pour les quarts de finale et c’est non sans une certaine honte que nous constituons LA surprise du tournoi.

À nous regarder jouer, ça donnait l’impression que nous étions à fond en 4e sans pouvoir passer la 5e. Dans ces conditions c’est difficile de surclasser les équipes que nous sommes supposés surclasser… En ce qui me concerne, je pointerais du doigt notre jeu collectif. Peut-être que nous avons suffisamment travaillé sur nos performances athlétiques et qu’il est temps maintenant de travailler un peu la tactique ; parce que visiblement on l’a oublié depuis l’année dernière.

On verra demain ce que ça donne.

SkyBowl

Ce weekend, Freespeed part à Winterthur jouer un des plus vieux tournois de Suisse (sinon le plus vieux : il date de 1984) et vraisemblablement le plus gros tournoi open de Suisse (hors championnat). C’est à ma connaissance le premier tournoi auquel Freespeed ait jamais participé et comme nous ne l’avons encore jamais gagné (on a été 2e deux fois et sinon nous sommes régulièrement en demi-finales) vous imaginez bien qu’on n’y va pas pour cueillir des pâquerettes.

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Histoire d’une bière perdue (mais dix de retrouvées normalement)

Je ne sais pas si Paméla l’attend, mais il faut quand même que je vous raconte ma petite expérience de ce soir. Eh oui, figurez-vous que j’ai décidé de m’essayer à l’escalade pour voir ce que je vaux. Petit rappel de l’épisode précédent…

Il y a presque deux ans (j’abuse un peu, disons un an et demi), Sophie et Thomas m’ont emmené gravir le redoutable Charmant Som (voir ici). C’était pour moi une véritable expédition sur cette paroi généreusement notée à 3 pour sa difficulté (sur la photo ci-contre c’est du 7, mais je soupçonne cette échelle d’être logarithmique). Nous avions fait une bonne grimpette de bien 200m avec certains passages que j’avais jugé délicats.

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