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Oui ça fait bien longtemps que ce blog n’a pas donné de signe d’une activité quelconque. En fait, il y aura bientôt (enfin) des photos et vidéos des glaces à l’azote liquide de début juillet (fin juin ?) mais aussi des vacances à la montagne dont je reviens à peine avec Élodie. En attendant, voici un petit condensé des mouvements magiques les plus visuels que je sache faire (mais j’ai besoin d’un degré de confiance assez élevé et d’un public réduit pour certains). Ce sont tous des mouvements dit de « change » et dans l’ordre il y a : le shape shifter, le snap change, le duck change, et le ego change. Comme ces mouvements sont très visuels, ils sont faciles à casser si on regarde la vidéo encore et encore (d’autant plus que je ne les réalise pas tous à la perfection), donc si vous voulez conserver le mystère, ne regardez pas avec trop d’attention et laissez-vous simplement surprendre.

En plus, comme vous l’aurez peut-être constaté, les vidéos viennent maintenant directement de mon serveur et sont donc plus rapides à se télécharger qu’avant.

J’ai enfin quelques messages personnels à faire passer : j’ai énormément de retard dans mes réponses mail, patience…

Pour ceux que l’actualité du frisbee intéresse : je reviens de la première journée du championnat suisse de division 1 et je peux vous dire que cette année va être riche en suspens et en bouleversements.
Habitués à finir sur le podium, l’équipe de Stans a, il me semble, débuté avec 4 défaites sur les 5 matches joués ce weekend (cela dit l’équipe semble en plein renouvellement). De leur côté, Zurich a difficilement réussi à conserver son rang d’ancien champion de suisse (il y a plus de 10 ans certes) face aux équipes promues mais a complètement coulé lorsqu’il a s’agit de jouer contre les trois grosses équipes du championnat : Berne, Genève et Bâle. Et justement, s’il semble relativement inévitable que ces trois là finissent sur le podium, il est difficile de dire dans quel ordre. Pour le moment les deux affrontements directs ont vu Berne gagner d’un point contre Genève et Bâle (donc nous hi hi !) gagner d’un point contre Berne.

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C’était au milieu de l’été 2006, dans l’avion qui me transférait de Toronto à Vancouver (et dans le vol retour aussi d’ailleurs) pour rejoindre WCCI, qui sera finalement ma dernière conférence de jeune thésard. Enfin bref. Je suis donc dans ce vol, qui est parti avec du retard d’ailleurs, et un peu impatient d’arriver pour dormir (décalage horaire oblige). À bord, on vient de nous servir notre repas du soir et sur l’écran (vidéo-projecteur dans l’allée, je pensais que ça ne se faisait plus) un court-métrage démarre en guise de première partie du film qui accompagnera notre traversée. Il s’agit de Pria, de Ted Bezaire (je ne sais pas si vous vous rendez compte qu’il m’a fallu presque 2 ans pour retrouver tout ça ; parce que ce n’est pas vraiment le genre d’information qu’on note quand on est coincé sur le siège d’un avion).

Franchement je l’ai trouvé superbe et j’ai été content de moi quand j’ai déniché le site de la compagnie qui l’a produit (The Dot Films) et qui propose ce court-métrage en streaming. Afin de pouvoir vous en faire profiter avec des sous-titres français de ma fabrication, j’ai pris la liberté de recopier le flux (en vrai j’ai demandé et je n’ai jamais eu de réponse) et de vous le proposer ici même.

Ce soir à l’entrainement nous avons eu la surprise de voir un joueur de l’équipe nationale turque (mais qui, ça mystère) venir faire un petit jogging autour du terrain. Il en a de la chance, il avait un garde du corps et un préparateur pour lui tout seul.

Bon voilà, j’imagine que Sylvain n’y verra pas d’inconvénient, mais j’ai uploadé une version light de Roots, la première partie du film de l’Australie. Elle fait quand même dans les 600Mo et dure une bonne heure. Elle est encodée en xvid/mp3 et elle est à cette adresse. Maintenant c’est là que ça devient drôle. En effet, l’accès est protégé par un mot de passe et celui-ci dépend de qui vous êtes :

• si vous êtes de ma famille, alors le nom d’utilisateur est « benedic » et le mot de passe est le nom du village où habite la sœur de mon père (version longue tout attaché et sans accent) ;
• si vous faites partie de ceux avec qui j’ai trainé à l’ENSPS, alors le login est « roots » et le mot de passe est le nom de notre liste de diffusion sous google ;
• pour les gens du labo, le login est « labo » et le mot de passe est le nom du serveur dont l’ip est 10.34.0.29 ;
• pour tous les autres, il va falloir me mailer pour avoir un accès.

Exténuant. Il n’y a pas d’autre mot pour qualifier ce weekend à Amsterdam. Non vraiment. Trois jours de compétition intense (36 équipes open, neuf matchs), avec un système de poule inspiré des championnats d’échec suisses qui font se rencontrer très rapidement les grosses cylindrées, des matchs en 15 points sans limite de temps, et seulement cinq remplaçants chez nous dont deux rookies et deux en retour de blessure.

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Après concertation avec Sylvain, le site Kangourou Tour 2007 est maintenant doté des photos de l’expo. Il me manque encore quelques légendes, mais je suis certain que Sylvain me les fera parvenir dès qu’il aura lu ce message ;). En attendant, c’est ici.

Une fois n’est pas coutume, voici quelques photos de la coupe de Suisse, que j’ai rapatriées depuis le site web de Freespeed pour les allergiques au suisse-allemand. Il y en a bien d’autres là-bas. Bon étant donné le caractère un peu narcissique inhérent au concept de blog, j’ai forcément sélectionné une majorité de photos où on me voit :p Séance diapo commentée (ça faisait longtemps).

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Je rendrai un hommage plus complet à Dominique Duvivier dans un prochain billet, mais je dois tout de même dire dès maintenant que ce Dominique est quelqu’un de remarquable tant les tours qu’il fait sont à la fois visuels et simplissimes (enfin en ayant quelques bases quand même). Pour preuve, une de ses fameuses amuseries apprise en 2 minutes chrono.

La semaine dernière je me suis rendu sur Paris pour un second entretien, qui pour l’instant n’a conduit nul part mais ça c’est une autre histoire. Afin de ne pas m’ennuyer pendant le long trajet aller-retour en train, j’ai décidé de m’attaquer à un nouveau mouvement de Dan et Dave. Il s’agit d’une nième variation de la coupe « molecule » dont je sais déjà faire quelques versions de base. L’enchainement qui a retenu mon attention est « molecule version Tokyo ». Il s’agit d’un enchainement entre « molecule 4 » et «molecule 2 » que j’ai déjà filmé pour un précédent billet. Ce qui m’a demandé tant de temps, c’est la manipulation du paquet du haut dans la triple coupe de départ : mine de rien il fait 180° dans le plan horizontal, puis 360° dans le plan vertical, puis de nouveau 180° horizontalement, le tout géré avec les trois doigts du milieu de la main droite et en un seul mouvement. Autant dire que c’est chaud de le maintenir à peu près égalisé (avec les cartes bien alignées) du début à la fin, surtout avec les mouvements du train.